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Bienvenue sur une page de blog où je vous partage des informations, des recettes saines et des astuces pour vous aider à atteindre vos objectifs de santé et de remise en forme saine!
Quelle différence entre perte de poids et perte de gras ? Pourquoi faut-il bien les différencier?
Qu’est ce que la perte de poids?
On entends toujours je veux du perdre du poids que ça soit dans son entourage ou même dans son cercle de connaissances, mais qu'est ce qu'on entends par cette phrase ?
Déja il faut bien diviser notre poids corporelle en deux catégories !:
-La masse Musculaire ( Maigre)
-La masse Grasse
La masse grasse est exactement ce à quoi cela ressemble ? notre niveau de graisse corporelle totale et La masse maigre est tout ce qui n’est pas une masse grasse et peut être décomposée en une masse osseuse, une masse musculaire, de l’eau et une masse d’organes.
Beaucoup de personnes ont un prisme qui tournent autour de la balance et de son chiffre ce n'est pas une critique je l'ai eu aussi.
Chaque personnes qui souhaitent perdre du poids ne vont pas se débarasser de leur masse maigre mais on a tous à l'oeil la masse grasse. Cependant, si nous n’utilisons la balance que pour examiner la perte de poids, il n’y a aucune indication quant à savoir si nous avons perdu de la graisse, du muscle ou autre chose.
La perte de poids on ne peut pas savoir exactement ce qu'on a perdu ( Masse grasse,masse maigre ou autre). Le chiffre sur la balance n'est qu'une mesure purement numérique qui ne tient pas compte de la qualité de ce qui a été perdu ou gagné. De plus, il peut être assez facile de tromper la balance. En passant simplement d'un régime riche en glucides à un régime pauvre en glucides, vous constaterez une réduction spectaculaire de la perte de poids. C’est parce que 1 g de glucides stockés retient environ 3 g d’eau dans le corps.
Sauf que je vais casser un peu l'ambiance mais ... perdre du poids ne va pas faire diminuer cette satanée graisse, un changement de poids dans énormément de cas ne vas pas vous faire perdre du gras vous allez perdre d'abord l'eau retenu par les glucides comme vu plus haut.
D'autres facteurs peuvent influer quotidiennement sur les fluctuations de poids ? ils sont tous normaux. Fluctuations hormonales, consommation de sodium variable, différentes quantités de fibres alimentaires et nourriture dans le tractus gastro-intestinal.
Tous ces facteurs peuvent entraîner une fluctuation de votre poids. Lorsque vous observez ces changements sur la balance, est-ce que le poids est vraiment plus important que la graisse que vous avez perdu ou gagné ?
Qu’est ce que la perte de graisse?
On a tous une quantité de graisse corporelle plus ou moins haut selon chaque individu. On l'exprime en pourcentage de composition corporelle.
Prenons le cas de vous mesdames, vous avez en moyenne plsu de graisse corporelle pour le bien de votre système de reproduction
Prenons le cas de vous messieurs, nous avons une masse musculaire plus importante que les femmes, ce qui peut entraîner uen diminution de la masse graisseuse
Un athlète masculin peut avoir une masse grasse comprise entre 7% et 13%, contre 12% à 20% pour les femmes.Les hommes en forme et sportifs peuvent représenter entre 12% et 17%, et les femmes
17% à 24%. Un homme en bonne santé moyen peut avoir jusqu’à 24% et une femme jusqu’à 30%.
Si la graisse peut être perdue, elle doit être stockée. L'excès de graisse est stocké dans les cellules adipeuses de l'organisme appelées adipocytes. C'est ici que nous trouvons le terme tissu adipeux.
Les types les plus courants de graisse corporelle (adipocytes) dont on parle sont la graisse souscutanée (la graisse entre la peau et le muscle) et la graisse viscérale (la graisse autour des organes). Il y en a d'autres, mais ce sont les deux plus responsable de la santé et de l'apparence. La perte de graisse est la décomposition et la réduction de ces adipocytes stockés.
Malheureusement, on ne peut pas choisir où cette masse graisseuse va se stocker sur notre corps et on ne peut pas non choisir l'endroit du corps où on destockera notre masse... si vous voulez un ventre plat, les abdos ne vous aideront pas à perdre du poids ? mais un déficit calorique le fera!
Prendre des photos de votre transformation est un bon indicateur, sur une base tous les 3 mois en partant du point de départ jusqu'à l'arrivée est un super moyen de voir votre travail accompli, et un super sentiment de fierté également !
Si vous avez de l'embonpoint, vous concentrer sur la balance peut vous aider à avoir de la rigueur. Plus vous êtes en forme et défini, plus les autres mesures de masse grasse sont importantes pour vous assurer que vous êtes sur la bonne voie pour atteindre vos objectifs.
Pensez à ce que vous voulez vraiment ? voulez-vous perdre du poids ou de la graisse? Une fois que vous savez quels sont vos objectifs, choisissez le plan et les mesures qui vous mèneront là où vous vous voudrez.
La tendance mondiale de la santé
Le surpoids et l’obésité en chiffres
En 2022, 2,5 milliards d’adultes de 18 ans et plus étaient en surpoids et sur ce total, plus de 890 millions étaient obèses, ce qui représente 43 % des adultes de 18 ans et plus en surpoids (43 % des hommes et 44 % des femmes) ; cette proportion a augmenté par rapport à 1990, où elle était de 25 %. La prévalence du surpoids varie selon les Régions, allant de 31 % dans la Région OMS de l’Asie du Sud-Est et dans la Région africaine à 67 % dans la Région des Amériques. ( OMS)
16% des adultes de 18 ans et plus dans le monde étaient obéses. Un chiffre en constante augmentation puisqu'elle a doublé entre 1990 et 2022.
En 2022, on estimais que 37 millions d'enfants de moins de 5 ans sont en surpoids. Autrefois considéré comme un problème des pays à revenu élevé, le surpoids est en hausse dans les pays à revenu faible et intermédiaire. En Afrique, le nombre d’enfants de moins de 5 ans en surpoids a augmenté de près de 23 % depuis 2000. En 2022, près de la moitié des enfants de moins de 5 ans en surpoids ou obèses vivaient en Asie. ( OMS)
Plus de 390 millions d’enfants et d’adolescents âgés de 5 à 19 ans étaient en surpoids en 2022. La prévalence du surpoids (obésité comprise) chez les enfants et les adolescents de 5 à 19 ans a considérablement augmenté, passant de 8 % en 1990 à 20 % en 2022. L’augmentation est similaire chez les garçons et les filles : en 2022, 19 % des filles et 21 % des garçons étaient en surpoids.
Alors que seulement 2 % des enfants et des adolescents de 5 à 19 ans étaient obèses en 1990 (31 millions de jeunes), en 2022, 8 % d’entre eux étaient obèses (160 millions de jeunes). ( OMS)
Ces chiffres sont alarmants et doivent être pris en compte avant d'atteindre des plafonds conséquents.
Les causes données par l'OMS principalement sont:
le manque d'activité physique
qu'on comprends par nos rythmes de vies, on devient de plus en plus sédentaire, dû aux transports motorisés et l'utilisation accrues des écrans au travail, de l'éducation, loisirs. Ces données factuelles montrent qu'une forte sédentarité est liée aux mauvais résultats en matière de santé:
un gain de poids ( comme vu au-dessus), un comportement social et attitude comportementale de moindre qualité, une santé Cardio et une condition physique moins bonne ainsi mortalité toutes causes confondues, mortalité liée à des maladies cardiovasculaires et mortalité liée au cancer et incidence de maladies cardiovasculaires, de cancer et de diabète de type‑2 ( OMS)
la malnutrition
De nombreux pays à revenu faible ou intermédiaire sont confrontés à ce que l’on appelle le double fardeau de la malnutrition.
Alors que ces pays continuent de faire face aux problèmes des maladies infectieuses et de la dénutrition, ils connaissent une augmentation rapide des facteurs de risque de maladies non transmissibles tels que l’obésité et le surpoids.
Il n’est pas rare d’observer simultanément la dénutrition et l’obésité dans un même pays, une même communauté, voire une même famille.
Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, les enfants risquent davantage de ne pas bénéficier d’une alimentation adaptée, que ce soit au stade prénatal, au stade du nourrisson ou du jeune enfant. De plus, ces enfants sont exposés à des aliments riches en graisses, en sucre et en sel, très caloriques, mais pauvres en micronutriments, qui sont généralement moins chers, mais aussi de qualité nutritionnelle inférieure. Conjuguées à une activité physique insuffisante, ces habitudes alimentaires provoquent une augmentation marquée de l’obésité de l’enfant alors que les problèmes de dénutrition ne sont toujours pas résolus. ( OMS)